dimanche 10 février 2013

Crash Test Bases de Teint


(En tant que bonne cliente de chez Sephora, j'estime qu'il était de mon devoir d'écrire un article sur les bases de teint, pour les lectrices aussi futiles que moi ♥) (Puis comme ça je complète le test de Capucine, qui n'incluait pas ces deux là).

Aujourd'hui, le crash test se fera donc sur...

Base de teint Urban Decay VS Base de teint Sephora !




Pourquoi une base de teint ? Parce que si tu veux faire tenir your fondation toute la journée a.k.a ne pas ressembler à une luciole avec la peau grasse et les pores éclatés à 16h, la base de teint, sbien pratique. Et pour celles qui comme MyMom ont des pores aussi gracieux que les cratères de l'Etna, c'est un produit assez cool pour donner l'air d'avoir une peau de bébé. Mais il faut donc en trouver une qui soit pas mega grasse, sinon bonjour l'état de ta peau après, et qui... serve à quelque chose. Parce que la Studio Secret de L'Oréal, bah, elle servait à rien par exemple.

Déjà le prix et la quantité. 10,90 pour la Sephora de 15 ml, et 26 pour la Urban Decay de 28 ml. Proportionnellement, la Urban Decay est donc plus chère. Seulement, à l'utilisation, j'ai besoin de beaucoup plus de produit avec la Sephora, qu'avec la Urban Decay, je l'use donc beaucoup plus vite.

Point pour : U.D !

Ensuite packaging :

La Sephora se présente sous la forme d'un petit flacon en verre, à pompe. Je suis pas encore arrivée en fin de flacon, mais j'ai un peu peur du gâchis que ça risque de donner. Néanmoins, cette petite chose transparente et noire est plutôt esthétique.

Place à la Urban Decay, qui elle est présentée dans un petit tube violet. Pas trop mal le système du tube, mais c'est comme pour le dentifrice : sur la fin faut le couper si on veut en récupérer une bonne partie.

Si on met de côté l'aspect pratique, je donnes le point à la Sephora, que je préfère quand même un peu question packaging.


Maintenant on rentre dans le vif du sujet : l'efficacité des produits !

Textures à l'application

Sephora : alors là, c'est une des textures les plus étranges que j'ai jamais touché de ma vie. J'ai l'impression de m'étaler de la graisse animale coupée à du silicone sur la gueule.

Urban Decay : texture étrange aussi mais déjà carrément moins chelou. Là je dirais une crème coupée à du silicone.

Point pour : U.D sans hésiter !

Facilité d'application :

Sephora : Ça glisse et ça s'étale tellement bien qu'on dirait du lubrifiant.

Urban Decay : Un peu plus difficile à appliquer, il en faut plus en quantité pour couvrir la même surface qu'avec la Sephora. Laisse des traces de la couleur du produit si mal appliquée.

Point pour... Sephora, mais un peu à contre cœur quand même...

Texture de ta peau après coup

Sephora : T'as un masque tout doux sur la tronche. Mais un masque quand même. Puis faites gaffe au produit parce que dès qu'il sèche il fait des sortes de petites pellicules et du coup on a l'impression que tu pèles.

Urban Decay : Un semblant de masque, mais moins désagréable que le Sephora. T'as la peau un toutipeu collante, mais ça va quand même.

Point à la Urban Decay.


Verdict : Urban Decay : 3 - Sephora : 2.


Donc, Sephora est battue par Urban Decay, qui est elle-même battue par Benefit. Ouais, attends, même si la Urban Decay est pas mal, le Porefessional, c'est quand même autre chose, faut pas déconner non plus. Et faudra que je teste la Shadow Insurance, parait qu'elle est bien...



lundi 28 janvier 2013

AlloCadeau




Je fais partager ma dernière trouvaille web : AlloCadeau. Je sais pas si vous connaissiez, mais en tout cas je trouve ça génial. Bon, j'arrive après les fêtes, donc après la bataille, mais quand même, vu le nombre de gens qui ont décidé de naître au mois de janvier/février/mars, ça peut servir. Et ça servira même après. Le principe ? Tu donnes le prénom de la personne/les prénoms du couple, à qui tu veux faire un cadeau, sa tranche d'âge, ton budget, le genre de trucs qu'ils aiment en général et le genre de personne qu'ils sont, et là, le truc il cherche et il te fait des propositions. Super pratique quand t'es en panne d'idées. Merci Georges ! Bref :  AlloCadeau .

Short, not slut. #1


Oh putain. J'étais partie pour écrire un pamphlet parce que j'étais particulièrement énervée suite à une ou deux œillades/réflexions, quand je tombe sur l'image révélatrice qui traduit précisément le truc qui me dérange. Cadeau :



a.k.a la réputation que tu te paie selon la longueur de ta jupe. Bon, je suis d'accord que quand t'arrives à la longueur joliment intitulée « Whore » sur l'image, bah, t'abuses un peu mon petit. Autant sortir à poil. Sauf que tu vois, moi ça m'arrive de temps en temps de sortir avec des longueurs entre « asking for it » « provocative » et « cheeky » sauf que, et beh non, I'm not asking for it. Si je porte des trucs courts, c'est parce que j'estime que ça va avec le reste de ma tenue et que j'ai envie de porter une certaine tenue, pas parce que j'ai envie de me faire troncher le cul par le premier mec en manque qui passe, ni parce que j'ai envie de montrer mon postérieur. Et c'est encore moins pour voir ce putain de regard que je déteste sur la gueule de certaines personnes qui trouvent la longueur de ta jupe discutable et qui, du coup arrivent à te traiter de salope rien qu'en te regardant. Moi je suis désolée, mais je pense que du moment que tu suis certaines règles (genre tu combines pas le court, le transparent et le décolleté quoi, et encore moins les ensemble) et bien tu fais ce que tu veux. Le seul truc qui me désespère et que je peux pas m'empêcher de juger c'est le maquillage façon camion volé peinturluré. Soyons honnêtes, c'est moches, et ça manque cruellement de naturel et de chic.

Mais bon, là n'est pas le sujet, je vous pondrais un article là dessus plus tard. Là, j'en suis aux fringues. C'est pas la longueur de la jupe qu'il faut regarder, c'est l'ensemble de la tenue, l'allure. Certes, je ne suis pas fanatique des filles arborant des tee-shirts Playboy avec un jeans taille basse (de préférence avec le string qui dépasse) couplées à des chaussures de strip-teaseuses mega cheap et autre détails stylistiques de ce genre. Y'a des tenues très classes et très mignonnes qui peuvent être courtes ou décolletées et qui pourtant ne te donnent pas une allure vulgaire, suffit juste de savoir doser. Le problème c'est qu'il y en a certains qui font des raccourcis à la con, style « elle a un décolleté = elle veut montrer ses seins » ou encore «  sa jupe est courte = elle va aller se faire prendre par derrière dans tous les bars de la ville ». C'est quoi ces conneries... Je dirais même qu'il suffit qu'on sorte de la banalité et qu'on soit un peu apprêtées pour qu'on se fasse juger négativement (ou jalouser, ça dépend de notre patrimoine génétique). C'est si dur à accepter, qu'on puisse avoir envie de se faire belle pour soi et pas pour autrui ? Qu'on puisse avoir envie de porter une pièce parce qu'on la trouve jolie et non pas parce qu'on veut montrer notre corps ? Pourquoi les vêtements donneraient la permission de juger la personne qui les porte ? Bon, on peut pas s'empêcher de juger, c'est humain. Mais on peut s'empêcher d'ouvrir sa gueule et/ou d'avoir une attitude déplacée. Liberté d'expression ? Ouais ok, tant que tu respectes les autres : « ta liberté s'arrête là où commence celle des autres ». Et je pense être libre de ne pas me faire insulter.

Ok, y'a des codes vestimentaires à respecter, genre tu te pointes pas dans un batiment religieux en tee-shirt cropped et mini-jupe, tu pars pas bosser en débardeur/minishort, et tu te ballades pas en centre ville en bikini (rigolez pas, j'en ai vu une comme ça, avec juste un paréo en plus, et non, c'était pas pour un bizutage). Là, c'est une question de respect d'autrui. Néanmoins, c'est aussi une question de respect de ne pas siffler (merci mais je suis pas un chien) ou de faire une réflexion salace (à garder pour ses potes à la limite) à une fille portant une jupe courte. Ce n'est pas parce que ma jupe ou ma robe ne m'arrive pas au genou que je suis une fille facile. Non, non, et re non. Que la vue plaise, c'est un fait, la façon de le faire remarquer, c'en est un autre. Un mec casquette à l'envers qui va te dire « Hé mad'moiselle, t'es vraiment charmante, ça te dit de me faire une sucette ? » ou « Hé jolies cuisses, t'as un 06 ? » et qui te colle au cul jusqu'à ce que tu lui réponde, ça fait pas tout à fait le même effet qu'un mec lambda qui va te dire « Vous êtes charmante » et qui va tracer sa route, content d'avoir fait un compliment respectueux. Oui, fondamentalement, les deux ont dit charmante, mais pas de la même façon, et oui, ça joue. Moi je dis merci quand le compliment est flatteur, mais j'envoie chier quand c'est vulgaire.

A suivre. Parce que j'ai plein de choses à dire là dessus. Parce que bordel, c'est pas normal qu'on entende encore « La nana se fait harceler ? Normal, t'as vu ses minijupes ! ».

dimanche 27 janvier 2013

Petite liste...


9 personnes que vous ne supportez/supportiez plus de voir au lycée




1./ Le prof dépressif qui déteste son métier. Parce que s'il hait autant les élèves/l'éducation nationale/ses collègues/le monde entier, il aurait peut-être mieux fallu qu'il se trouve une autre orientation professionnelle.

2./ Le couple qui, oui, compte pour une personne. Très facile à repérer, ce sont les deux adolescents plein d'hormones amoureux collés 24/7, en permanence en train de faire de la spéléologie buccale et baveuse. Écœurant, ou déprimant si vous êtes célibataire.

3./ Ce pote qui n'en est pas vraiment un. Vous lui avez dit bonjour deux fois et vous avez des amis communs, et depuis que vous l'avez rencontré il se comporte comme si vous étiez BFF depuis l'école primaire.

4./ La grande langue de pute qui critique tout, tout le monde, tout le temps, dès que les gens ont le dos tourné, généralement accompagnée des gloussements de ses sbires. Même si au fond, vous faites la même chose, vous, au moins, vous avez l'élégance de le faire discrètement.

5./ L'élève boulet qui ne vient en cours que pour faire chier les élèves et les profs. C'est bien d'avoir 5 ans d'âge mental. Quand on a 5 ans, pas 17.

6./ La personne qui élabore les menus de la cantine. Certes, vous ne l'avez jamais vu, mais des fois quand vous crevez la dalle et que vous avez le droit à Morue/Choux de Bruxelles, ça vous suffit pour le détester.

7./ La gonzesse mégalo qui a des problèmes existentiels. Son plus gros soucis dans la vie, c'est de savoir comment obtenir le numéro du « Beau » (tout est relatif) gosse du lycée, savoir comme elle va s'habiller à la soirée de machin, et savoir si elle a un bouton sur le front (en revanche, savoir si son fond de teint la rend orange, elle s'en tape) . Votre plus grand soucis avec elle, c'est que vous ne la trouvez pas passionnante et que vous ne savez pas quoi lui dire.

8./ Le taxeur professionnel. « T'as pas une clope/feuille/de l'argent/un sms/stylo/à manger …. » En fait, il vous dépouille de vos affaires un peu plus chaque jour.

9./ L'élève parfait qui a 20 de moyenne partout, aimé de tous les profs , qui n'est jamais absent ou en retard, qui reste une heure plus tard le soir pour travailler, et dont la vie ressemble à une pub pour Balisto. Et qui, accessoirement, vous fait vous sentir comme une sombre merde.

Point Musique : The 2nd Law

Bon, ça fait un moment que j'ai écrit ce billet, c'est à dire, je l'ai écrit à la sortie de l'album. Je le poste quand même. Juste parce que je suis dégoûtée de pas avoir de place de concert.

(Ah oui et, hum, au fait, t'es gentil, le dessin, pas toucher, smoi qui l'ait fait)

The Muse Law : Muse rules

Lecteur, je ne sais pas si tu le sais, mais je suis une fan hardcore de Muse. Il était donc incontournable que je fasse un petit article sur The 2nd law. Même si à la longue j'ai fini par l'apprécier, j'avais un peu été déçue de The Resistance à la première écoute. Je trouvais qu'il manquait un peu le punch présent sur les autres albums. J'ai découvert Unsustainable en même temps que la bande annonce de l'album, et à la toute première écoute, j'étais, comment dire... mitigée. Ce morceau est étrange, mais dans le sens positif. Une bizarrerie Musienne que l'on a envie de ré-écouter pour mieux l'analyser. Unsustainable mixe des airs de symphonie classique avec de la dubstep et des bribes d'informations viennent s'ajouter à ce curieux mélange. Et pourtant, ça rend bien. Au bout de quelques écoutes, c'est même devenu un de mes morceaux préférés de l'album. Ensuite est sorti Madness. Je ne sais pas si ceux qui l'ont écouté le pensent, mais personnellement, je trouve que l'on sent l'influence de Queen sur ce morceau. Oui, Muse ne se contente pas de faire de la bonne musique, les membres écoutent de la bonne musique. J'ai plutôt rapidement apprécié ce morceau, qui monte en intensité au fur et à mesure des minutes qui défilent. Fandemuse était réticent face à ce morceau qu'il avait même qualifié de « nul » avant de m'envoyer un sms en couinant pour me dire que finalement c'était sa chanson préférée. Encore un morceau qu'on apprécie pas forcément à la première écoute donc. Puis l'album fut disponible sur internet, Lily La Fronde posta un lien vers l'écoute sur mon mur Facebook, et j'ai enfin pu ouïr ces chansons tant attendues. J'ai eu un coup de cœur immédiat pour Panic Station. Une chanson totalement funky et hyper catchy qu'on croirait sortie des années 80. Je vais t'expliquer un truc lecteur, c'est que je ne suis pas normale. Oui, ça tu le sais, je sais, mais là je te le dis pour t'expliquer ma manière de découvrir des albums. Je ne suis pas une personne sensée qui écoute l'album dans l'ordre. J'écoute d'abord les chansons dont les titres m'interpellent. Donc j'ai commencé par Panic Station que j'ai écouté approximativement de 20h12 à 20h47. Puis j'ai reçu un sms de Fandemuse me disant qu'il avait un eargasme en écoutant Supremacy. Alors j'ai repris l'album à partir de la première piste. Et effectivement, pour ceux qui sont en manque de l'ambiance Absolution, Supremacy, c'est de la bombe. Après Supremacy, Madness et Panic Station, c'est Survival. Découverte pour les J.O, si certains s'en rappellent. Même qu'ils avaient grave déchiré leur race à la cérémonie de fermeture. Mouais. Je l'aime bien mais pas plus que ça. Ensuite, c'est Follow me. A écouter sans modération pour être de bonne humeur. En revanche, les trois suivantes ne m'ont fait ni chaud ni froid. Mais c'est peut être juste moi, parce que sur un album t'as toujours trois chansons qui me font ni chaud ni froid. Unsustainable, je t'en ai déjà parlé et la dernière piste, Isolated system, bah on dirait qu'ils ont foutu un de leurs samples tel quel sur leur album. Mais c'est bien kiffant. Le morceau fait pas fini, mais c'est justement ce qui donne envie de le ré-écouter. Mais je voulais revenir sur deux chansons en particulier. Save me et Liquid State. Deux chansons sur lesquelles Matthew Bellamy et Christopher Wolstenholme échangent brièvement leurs rôles. Et bah, je savais bien que Wolstenholme était douée, mais j'ai quand même été agréablement surprise d'entendre sa voix. Certes il a pas les vocalises de Matthew, mais sa voix est particulièrement agréable à entendre. Ecoutes moi ces deux chansons, si tu connais bien Muse mais que tu ne les a pas encore écoutées. Et donnes moi ton avis. Please.
En bref, c'est un bon album, que je trouve personnellement, meilleur que le précédent, et qui prouve une fois de plus que Muse c'est de la bombe et que ces mecs savent tout faire.

Mouais, pour l'impartialité on repassera.  

10 paires de chaussures QUEJEVEUXSINONJEMEURS

Bon, fallait bien que je commence par un billet, et mon côté Carrie Bradshaw a repris le dessus, et j'ai décidé de te pondre un super billet sur les 10 paires de godasses sur lesquelles je fantasme, dont tu n'as probablement rien à foutre, mais des fois qu'il y ait des meufs qui aient cette passion en commun avec moi, bah je le poste quand même. Et des fois qu'il y en a qui aient de bons plans, c'est encore mieux. Sur ce :

10 paires de chaussures qu'il me FAUT dans mon dressing

1 - Les ballerines Repetto 



Je ne suis pas très chaussures plates. Voire, pas du tout. Tous les gens que je côtoie sont persuadés que je fais naturellement 1m80, alors qu'en réalité, je fais 1m71. Mais les ballerines Repetto sont des souliers intemporels et font partie des rares paires de chaussures plates que je porterais volontiers.

2 - L'escarpin Carven



Putain. Celui là, je l'aime d'amour. Il est beau, cosy, élégant, casual... La chaussure de jour idéale quoi. Il ne ressemble pas à un instrument de torture et a l'air délicieusement confortable, le tout en délicatesse et en féminité. ( Pour le confort, je vous le confirmerais cet été ;) )

3- Pigalle de Louboutin


Je suis monomaniaque. Et ces Louboutins, je les veux. Et je les aurais. C'est intemporel. Ça claque. Et ça te change une tenue, voire une allure. Bref, c'est Louboutin, et ses merveilleux bébés à semelles rouges. 

4 - Des escarpins nude LK Benett


Bon, bah, juste un commentaire : Merci, Kate Middleton. J'aurais jamais eu l'idée et maintenant jvais me ruiner. Merci.


5 - Les Vampanodos, par Monsieur Louboutin Chéri.


Alors là, vu la finesse de la sandale et ma délicatesse naturelle, je donnes pas cher de leur durée de vie. Mais putain qu'est ce qu'elles sont belles....

6 - Les Clausado, de Manolo Choupi



J'ai un problème avec les nœuds, je sais.

7 - Les Maya, de Jimmy Choo


Bis.


8 - Les Ben, de Guess



Ah, sur celles là, y'a pas de nœud ! 
Mais franchement, ça va avec tout, non ?

9 - Une paire de Victoria



Et oui, même moi, madame "Le plat ne passera pas par moi", je trouve ça très mignon, les petites tennis, avec une petite robe d'été (hé, attends, faut pas déconner non plus hein..). Mais là je triche, j'en ai déjà une paire. 


10 - Les Tongs à brides Gisèle Bündchen pour Ipanema




Bon, celles-là aussi, je les ai déjà. Et ouais, mes pieds se la jouent fashionistas même dans le sable. Et oui, c'est plat. Mais va marcher avec des talons dans le sable toi, tiens... (Ceci est une expérience vécue).



Oui, bon, je sais, vu le métier auquel je me destine, je suis pas prête de toutes les avoir dans mon placard. Laissez moi rêver. Puis je vous jure que je vais essayer quand même.